Un magazine, et une application, ça vous dirait ?

Seriez-vous disposé à acheter un magazine tiré de "Un Olivier sur un Iceberg" ? 
Seriez-vous disposé à mettre quelques euros dans une application qui tente de résumer les données, et qui serait constamment mise à jour ?

C'est la question que je me pose en ce moment. 
L'Iceberg n'a, jusqu'ici, jamais rien proposé de payant. Pourquoi ce changement ?

Parce que, paradoxalement, je pense que proposer quelque chose de payant peut attirer plus de lecteurs. 
Parce que, jusqu'à présent, la portée de mon travail est insuffisante.
La simple présence d'une application sur les plateformes de distribution a une importance non-négligeable.

Parce que ce sera en couleur, et au moins trois fois par an.

Laissez-moi des commentaires ! 


Les obstacles techniques ne sont pas négligeables, étant donné le petit marché. L'application rassemblerait beaucoup de données, pas forcément faciles à traiter pour une personne seule. Et puis il y a le codage en lui-même. Pour le magazine, le papier a ma préférence, de loin, ce qui implique des coûts.


Les images sont des essais de couvertures de magazine.





 

Commentaires

Alex a dit…
Hello,
Franchement, je ne paierai pas pour avoir accès à du contenu sur le bégaiement, même si je reconnais qu'il y a un vrai travail de ta part.
Pourquoi pas pour un public pro, mais je vois mal l'ado qui bégaie dépenser quelques euros pour mieux comprendre son bégaiement. Déjà lorsque l'info est offerte sur le net, ce n'est pas évident, alors payant...
Alexandre
O a dit…
Merci pour ton commentaire Alexandre,
Le projet est fragile, effectivement, mais vaut peut-être le coup d'être tenté.

J'ai déjà fait un speech devant des adolescents qui bégaient, et le sujet les intéressait assez.
Après, il y a le problème de la frustration, ces infos peuvent devenir vite lassantes.
Il est possible que des pros soient intéressés, effectivement. Mais c'est placer la barre bien haut pour mes petites capacités.
Le problème de l'internet, c'est que tout est regroupé au même endroit, et on ne sait plus à qui faire confiance. Un magazine, une application, centralise un maximum d'informations au même endroit.

Et puis, encore et toujours, il faut combattre la désinformation, qui n'est pas une nuisance à prendre à la légère.