Mise à jour : apparemment rien dans le rapport ne fait allusion formelle au long-terme, ce que j'avais cru en premier lieu. L'important dans ce rapport est donc la mesure du cerveau au repos.
Je rouvre le blog, interrompu depuis 6 mois, et j'espère que ce n'est pas pour rien. Je vais essayer de faire court.
Je rouvre le blog, interrompu depuis 6 mois, et j'espère que ce n'est pas pour rien. Je vais essayer de faire court.
Hier, la Stuttering Foundation of America a mis en ligne un court article faisant allusion aux résultats d'une étude chinoise toute fraîche, et ce avant même que le résumé du rapport ne soit mis en ligne.
Chouette ! Du nouveau, du gros, du maousse costaud. Voyons voir.
D'habitude, je râle quand les gens réagissent de façon pessimiste aux découvertes, et ici c'est moi
qui faisait la fine bouche. Pourquoi je fais la gueule ? Parce que le résumé
Chouette ! Du nouveau, du gros, du maousse costaud. Voyons voir.
D'habitude, je râle quand les gens réagissent de façon pessimiste aux découvertes, et ici c'est moi
qui faisait la fine bouche. Pourquoi je fais la gueule ? Parce que le résumé
du rapport, publié quelques heures après, parle d'un rôle étiologique du pars opercularis gauche (en gros, la déconnexion, quoi) et d'une activité compensatoire du cervelet. Hum. Bonjour le scoop, merci messieurs, mais ça, les Allemands l'avaient déjà remarqué dans "How the brain repairs stuttering" en 2009.
Et puis, je vois que Christian A. Kell, de l'équipe Allemande, écrit un éditorial sur cette étude, et la commente sur divers sites.
Alors, c'est quoi le bin's ?
Le résumé dit aussi que cette étude avait pour objectif de faire la distinction entre coeur et conséquences (pour moi, une façon de confirmer les résultats allemands.)
Après moults tergiversations sur Facebook et une première lecture du sus-nommé éditorial, voici ma conclusion à moi pour l'instant :
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| Amusez-vous à retrouver le "pars opercularis" sur cette image si vous êtes cap' |
Et puis, je vois que Christian A. Kell, de l'équipe Allemande, écrit un éditorial sur cette étude, et la commente sur divers sites.
Alors, c'est quoi le bin's ?
Le résumé dit aussi que cette étude avait pour objectif de faire la distinction entre coeur et conséquences (pour moi, une façon de confirmer les résultats allemands.)
Après moults tergiversations sur Facebook et une première lecture du sus-nommé éditorial, voici ma conclusion à moi pour l'instant :
Il semblerait donc que l'on soit en face de la toute première preuve formelle, mesurable (argumentée par une mesure de la Connectivité Fonctionnelle du cervelet AU REPOS) que la thérapie comportementale modifie l'activité cérébrale.
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| Cervelet peint en bleu, après je l'espère l'accord de son propriétaire |
En attendant de lire un jour le rapport (qui pour l'instant est à 30 $, merci l'accès à la connaissance), je vous dis : à dans plusieurs mois.
Suite de la discussion, sur les pages Facebook de nos blogs.